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  • Guide pour vos excursions

    Classifications des sentiers T - Tourist Itinéraires sur petites routes, chemins muletiers ou larges sentiers, avec des parcours courts et bien visibles qui ne posent pas d'incertitudes ni de problèmes d'orientation. Elles se déroulent généralement en dessous de 2000 mètres. Elles nécessitent une certaine connaissance du milieu montagnard et une préparation physique à la marche. E - Randonnée Itinéraires qui traversent tous types de terrains, ou qui suivent des traces évidentes de passage à travers des terrains variés (pâturages, débris, éboulis), généralement balisés ; il peut y avoir de courtes sections plates ou légèrement inclinées de neige résiduelle où, en cas de chute, la coulée s'arrête dans un espace court et sans danger. Ils se développent parfois sur des terrains ouverts, sans sentiers mais sans problème, toujours avec une signalisation adéquate. Elles peuvent avoir lieu sur des pentes raides, où toutefois les sections exposées sont généralement protégées ou sécurisées (câbles). Elles peuvent comporter des passages isolés, ou de courtes sections sur rocher, non exposées, non fatigantes ni exigeantes, grâce à la présence d'équipements (échelles, échelons, câbles) qui ne nécessitent cependant pas l'utilisation d'équipements spécifiques (baudrier, mousquetons, etc.). Elles nécessitent un certain sens de l'orientation, ainsi qu'une certaine expérience et connaissance du milieu alpin, une formation à la marche, ainsi que des chaussures et un équipement adaptés. Ils constituent la grande majorité des sentiers de randonnée dans les montagnes italiennes. EE - Randonneurs expérimentés Il s'agit d'itinéraires généralement balisés mais qui nécessitent de pouvoir se déplacer sur des terrains particuliers. Chemins ou pistes sur un terrain accidenté et dangereux (pentes raides et/ou glissantes d'herbe, ou mélange de roches et d'herbe, ou de roches et de débris). Terrain varié, à altitude relativement élevée (pentes d'éboulis, névés courts et peu raides, pentes ouvertes sans repères, etc.). Sections rocheuses, avec de légères difficultés techniques (itinéraires équipés, via ferratas parmi les moins exigeantes). Sont toutefois exclues les courses sur glacier, même si elles sont plates et/ou apparemment sans crevasses (car leur franchissement nécessiterait l'utilisation d'une corde et d'un piolet, ainsi que la connaissance des manœuvres d'assurage associées). Elles requièrent : une expérience générale de la montagne et une bonne connaissance du milieu alpin ; un pied sûr et une absence de vertige ; un équipement, un matériel et une préparation physique adéquats. Pour les courses équipées, il est également nécessaire de savoir utiliser les dispositifs d'auto-assurage (mousquetons, absorbeur d'énergie, baudrier, cordelettes). EEA - Randonneurs experts, avec équipement Cet acronyme est utilisé pour certains itinéraires équipés ou via ferratas, afin d'avertir le randonneur que l'itinéraire nécessite l'utilisation de dispositifs d'auto-assurage (harnais, absorbeur d'énergie, mousquetons, longes) et d'équipements de protection individuelle (casque, gants). EEA - F (Via ferrata facile) Sentier aménagé, peu exposé et peu exigeant, avec de longues sections de marche. Sentier très protégé, avec une bonne signalisation, où les structures métalliques se limitent à un simple câble ou une chaîne fixée uniquement pour améliorer la sécurité. EEA - PD (Via Ferrata Pas Très Difficile) Via ferrata à aménagement limité et peu exposée. Le parcours est généralement articulé avec des canaux, des cheminées et quelques courts tronçons verticaux, facilités par des dispositifs tels que des chaînes, des câbles, des échelons ou encore des échelles métalliques. EEA - D (Via ferrata difficile) Via ferrata d'une certaine longueur qui nécessite une bonne préparation physique et une bonne technique. L'itinéraire est souvent vertical et surmonte dans certains cas également quelques courts surplombs, très complexes, avec de longues sections exposées ; équipés de cordes et/ou de chaînes métalliques, d'échelons et/ou d'échelles métalliques. EAI - Randonnée en milieu enneigé Itinéraires en milieu enneigé nécessitant l'utilisation de raquettes, avec des itinéraires clairs et reconnaissables, avec des voies d'accès faciles, en fond de vallée ou dans des zones boisées non impénétrables ou sur des crêtes ouvertes et peu exposées, avec des dénivelés et des difficultés généralement limités qui garantissent un déplacement en toute sécurité. Classification des itinéraires VTT TC - Tourist Itinéraire sur chemins pavés et en terre avec une surface compacte et lisse, adaptée aux voitures. MC - pour les cyclotouristes ayant un niveau technique moyen Parcours sur chemins de terre à surface légèrement bosselée ou légèrement irrégulière (sentiers, pistes de charrettes, etc. facilement praticables par un véhicule tout-terrain mais pas par une voiture normale) marqués par des ornières et/ou des dépressions ou avec la présence de débris qui ne pénalisent pas la progression (mais qui incitent à changer de trajectoire pour chercher un passage plus facile). Parcours sur chemins muletiers pavés ou sentiers à surface compacte et lisse, sans obstacles significatifs (ornières, marches), où la seule difficulté de conduite est donnée par la présence de passages obligatoires qui nécessitent une précision de conduite. BC - pour les cyclotouristes ayant de bonnes compétences techniques Chemin surchemins de terre très accidentés ou sur des sentiers muletiers et des chemins à surface assez irrégulière mais assez lisse ou compacte mais irrégulière, avec une présence importante d'obstacles élémentaires, de racines ou de marches pas trop hautes ; en général, en plus d'une bonne maniabilité et d'une bonne précision dans la conduite dans les passages forcés, une bonne dose d'équilibre est également requise. OC - ​​​​pour les cyclotouristes avec d'excellentes capacités techniques Parcours sur chemins et sentiers muletiers à surface très accidentée et/ou très irrégulière, avec une présence importante d'obstacles, même instables, ou d'obstacles composites et rapidement successifs, qui nécessitent une grande précision de conduite, un bon équilibre et d'excellentes aptitudes à la conduite à basse vitesse, sans toutefois avoir besoin d'appliquer des techniques de trial. Source CAI (Club Alpin Italien) Classification suisse des sentiers (également adoptée dans nos régions) T1 - Excursion Sentier bien balisé; si signalé selon les normes FSS : jaune. Terrain plat ou légèrement en pente, sans risque de chutes exposées. Peut être fait même avec des baskets, orientation facile, peut être fait même sans carte topographique. T2 - Excursion en montagne Sentier avec tracé clair et montées régulières. Si rapporté selon les normes FSS : blanc-rouge-blanc. Terrain parfois escarpé, risque de chutes exposées non exclu. Un pied sûr est requis, des chaussures de randonnée recommandées, des compétences d'orientation de base. T3 - Randonnée en montagne exigeante En règle générale, il y a une trace visible sur le sol ; les passages exposés peuvent être sécurisés avec des cordes ou des chaînes ; si nécessaire, vous devrez peut-être utiliser vos mains pour garder l'équilibre. Si rapporté selon les normes FSS : blanc-rouge-blanc. Passages isolés avec risque de chutes exposées, éboulis, pentes herbeuses sans traces avec petits rochers. Un pied sûr, de bonnes chaussures de randonnée, une bonne capacité d'orientation et des connaissances de base du milieu alpin sont requis. T4 - Route alpine Le chemin n'est pas toujours identifiable, l'itinéraire est parfois non balisé, il faut parfois utiliser ses mains pour progresser. Si rapporté selon les normes FSS : blanc-bleu-blanc. Terrain assez exposé, pentes herbeuses douces, pentes herbeuses parsemées de rochers, glaciers faciles sans neige. Une connaissance des terrains exposés, des chaussures de randonnée robustes, de bonnes compétences d'orientation et d'évaluation du terrain ainsi qu'une connaissance de l'environnement alpin sont requises. T5 - Route alpine exigeante Souvent sans traces, passages d'escalade simples et faciles jusqu'au niveau II. Si rapporté selon les normes FSS : blanc-bleu-blanc. Terrain exposé et exigeant, pentes herbeuses raides parsemées de rochers, glaciers et névés peu dangereux. Des chaussures de montagne, d'excellentes capacités d'orientation et de confiance dans l'évaluation du terrain, une bonne connaissance de l'environnement alpin et des connaissances de base sur l'utilisation du piolet et de la corde sont requises. T6 - Route alpine difficile Généralement sans traces, passages d'escalade jusqu'au grade II. Généralement non signalé. Terrains souvent très exposés, pentes herbeuses et rocheuses très délicates, glaciers avec risque de glissade. D'excellentes capacités d'orientation, une excellente connaissance de l'environnement alpin et une familiarité avec l'utilisation du matériel technique d'alpinisme sont requises. Classification des itinéraires VTT en Suisse S0 (Sentier facile) : Chemins de terre ou chemins muletiers pavés, avec une surface lisse et sans obstacles significatifs, adaptés à tous. S1 (Parcours intermédiaire) : Sentiers comportant de petits obstacles tels que des racines, des rochers et des marches, qui peuvent être abordés sans difficultés techniques particulières. S2 (Sentier de difficulté moyenne) : Sentiers avec des obstacles plus prononcés, tels que des racines plus grosses, des rochers, des marches séquentielles, qui nécessitent un guidage prudent. S3 (Sentier technique) : Sentiers comportant de nombreux passages techniques, constitués de blocs de roche et/ou de racines, qui nécessitent une plus grande habileté. S4 et S5 (Sentiers très techniques) : Sentiers avec des obstacles très difficiles, nécessitant des compétences et un contrôle avancés. Source CAS (Club Alpin Suisse)

  • La seigle

    Le seigle est une céréale qui joue un rôle fondamental dans la tradition culinaire alpine, notamment dans la préparation du pain noir alpin. Sa résistance au froid et sa capacité à pousser sur des sols pauvres en ont fait un aliment de base pour les communautés de montagne. Bien que très populaire dans les régions montagneuses, le seigle est originaire d’Asie Mineure depuis des milliers d’années, mais n’a pas eu une vie facile ; En fait, elle poussait comme une mauvaise herbe dans les plantations de maïs et de blé les plus renommées et les agriculteurs l'éliminaient périodiquement car sa taille (environ 2 mètres de haut) étouffait les cultures d'autres céréales, mais sa meilleure résistance aux agents atmosphériques et aux saisons froides a fait que les agriculteurs ont commencé à la cultiver en pureté, découvrant toutes ses nombreuses propriétés. Le seigle est une céréale riche en fibres, vitamines, minéraux et antioxydants, utile pour la santé digestive, le contrôle de la glycémie et la santé cardiovasculaire. En particulier, les fibres aident à réguler l'activité intestinale, tandis que le faible indice glycémique le rend adapté à ceux qui ont besoin de contrôler leur taux de sucre dans le sang. Riche en fibres : Le seigle, en particulier dans sa version complète, est une excellente source de fibres, qui aident à réguler l'activité intestinale, à prévenir la constipation et à réduire le risque de maladies chroniques telles que le cancer du côlon. Faible indice glycémique : Le seigle a un indice glycémique inférieur à celui du blé, ce qui signifie qu'il libère les sucres plus progressivement dans le sang, évitant les pics de glycémie et favorisant le contrôle de la glycémie, utile pour les personnes diabétiques ou qui souhaitent maintenir leur taux de sucre stable. Riche en nutriments : Le seigle contient des vitamines (en particulier des vitamines B), des minéraux (tels que le potassium, le phosphore, le magnésium et le calcium) et des antioxydants, qui contribuent au bien-être général de l'organisme. Bon pour le cœur : Certaines études suggèrent que le seigle pourrait avoir un effet protecteur sur les vaisseaux sanguins, contribuant ainsi à réduire le risque de maladie cardiovasculaire. Le seigle dans les Alpes : Aliment de base : Le seigle a toujours été un aliment fondamental pour les communautés de montagne, notamment pour la production de pain. Résistant au froid : Le seigle est particulièrement adapté aux conditions climatiques des zones de montagne, résistant bien au froid et à la sécheresse. Culture et tradition : Le seigle est lié à une ancienne culture et tradition culinaire alpine, le pain noir alpin en étant un parfait exemple. Redécouverte et valorisation : Récemment, on constate un regain d’intérêt pour la culture et la valorisation du seigle, avec des projets et des initiatives pour sa redécouverte. Utilisation polyvalente : Le seigle n'est pas seulement un aliment, mais il est également utilisé pour la production de paille, pour la toiture et pour la production de bière. Le seigle dans la cuisine : Pain noir : Le seigle est un ingrédient clé du pain noir alpin, un pain de montagne typique, caractérisé par sa couleur foncée et sa saveur forte. Farine de seigle : La farine de seigle est utilisée pour préparer divers produits de boulangerie, tels que des biscuits, des gressins et de la schiacciatine. Avantages pour la santé : Le seigle est riche en fibres, ce qui aide à améliorer la digestion et à réguler la glycémie. Exemples de produits typiques : Pain noir des Alpes : Un pain ancien et traditionnel, produit avec de la farine de seigle et d'autres céréales. Brazadela : Un beignet de pain de seigle, typique de la Valteline, avec une forme et une consistance particulières. Pâtes de seigle : Un exemple d'utilisation du seigle dans la fabrication de pâtes, avec des farines de seigle pour une saveur plus forte.

  • Église monumentale de S. Gaudenzio (Baceno)

    L'église paroissiale monumentale de Baceno, de style romano-gothique, porte le nom de San Gaudenzio, le premier évêque de Novare (337-417). Les documents les plus anciens qui témoignent de l'existence d'une chapelle à l'endroit où l'église se trouve aujourd'hui remontent au début du XIe siècle. Carlo Bascapèbe, évêque de Novare de 1593 à 1615, dans sa « Novaria sacrée » cite un document attestant l'existence à la Baceno d'une chapelle donnée aux chaumes de Santa Maria di Novara par Gualberto de Pombie, évêque de Novare de 1032 à 1039. La chapelle, construite avec un plan rectangulaire de style roman lombard, était située à l'endroit où se trouve actuellement le presbytère. La première expansion du bâtiment, qui présente des données entre les XIIe et XIIIe siècles, a changé d'orientation et a donné forme à la partie maintenant représentée par la nef centrale et la façade romane entre les deux pilastres. En 1326, le religieux Signebaldo de Baceno a érigé, à l'endroit où se trouvait l'entrée de la chapelle primitive, la chapelle de la Vierge. La propagation marquée du christianisme dans la vallée d'Antugus a plus tard déterminé la nécessité d'une nouvelle expansion. À l'occasion du mariage, en 1486, de Bernardino de Baceno, le Valvassore impérial d'Antigoio et Formazza, avec la noble femme Ludovica Trivulzio, fille du représentant du duc de Milan à Ossola, l'église de San Gaudenzio a été embellie avec la construction des nefs latérales actuelles, dans le style gothique. Au cours de la dernière décennie du XVIe siècle, avec les nouvelles normes établies par le Concile de Trente, de nouvelles interventions ont commencé au sein de l'église de San Gaudenzio, dont la structure a été sensiblement modifiée avec l'insertion d'éléments baroques clairs, qui depuis lors ont été en harmonie avec les romans et le gothique. Au centre de la façade romane en pierre de l'église monumentale de San Gaudenzio se trouve le portail, dominé par une rosace et flanqué par la grande fresque de San Cristoforo, peinte en 1542. L'imposant clocher, à la base carrée et d'un côté de sept mètres, mesure 31 mètres de haut; la rotule octogonale a été ajoutée au XVIIe siècle. Le grand intérieur à cinq nefs, divisé par quatre ensembles de colonnes, est caractérisé par un plancher de pente marqué (près d'un mètre la différence de hauteur depuis le début de la nef à la base des marches de la presbytère), composée de salaques sérielles. Les allées latérales sont formées de dix croisières magnifiquement décorées de fresques; en plus de l'imposant ciborium de l'autel principal, elles enrichissent finalement l'église de San Gaudenzio sept autels latéraux et le Battistero du XVIe siècle en marbre et bois blancs, avec des murs et des voûtes fresquées. La partie artistique la plus ancienne et la plus précieuse du bâtiment est la chapelle de la Vierge (maintenant du Rosaire), située dans la nef à droite de l'autel, dont les magnifiques fresques sont dédiées à la vie de Marie. Dans le presbytère, à droite, la grande Crucifixion (1542), l'œuvre d'Antonio zanetti appelée le Bugnate, sous les figures d'Adam et Eve, tandis que sur la voûte du canon est représentée le dragon par les sept têtes de l'Apocalypse; la croisière du presbytère est entourée de trois arches finement crayées avec des prophètes. La magnificence de l'église de San Gaudenzio di Baceno, dont la structure architecturale, au coucher du soleil, est renforcée par un éclairage sage, ne peut manquer d'affecter les yeux et les cœurs des visiteurs. Source: visitbaceno.it

  • La notre Baceno

    Baceno, municipalité de la vallée de l'Antigorio, a une superficie de 6872 hectares et est située à 655 mètres au-dessus du niveau de la mer. L'histoire de Baceno a des racines anciennes: le nom de la capitale de la vallée d'Antigoio apparaît pour la première fois dans un document de 918, mais la découverte, en 1958, d'une tombe remontant au IIe siècle de sa vie, témoigne encore plus loin de ses origines. Au Moyen Age, Baceno a joué un rôle important pour l'Alta Val d'Ossola, grâce à sa position stratégique à la confluence de trois vallées, Devero Antigorio et Formazza. De 1 200, il y a eu des événements alternés, qui ont d'abord vu les familles locales de De Rodis et De Baceno comme protagonistes. En 1215, l'empereur Otton IV investit la famille De Rodia de la vallée d'Antigous dont les possessions succèdent ensuite aux De Bacenos. En 1381, le passage de Baceno et de tout le Val d'Ossola s'est déroulé sous la domination du Visconti, en 1450, le Sforza a pris le relais, tandis qu'en 1595 le territoire a été donné en tant que fief au Borromée. En 1647, Baceno et tous les autres centres de la vallée d'Antigous ont été exemptés de l'infœtification. L'antiquité du lieu est attestée par la découverte, en 1958, d'une tombe qui peut être attribuée au IIe siècle de sa mère. Baceno, dont le nom apparaît pour la première fois dans un document de 918, au Moyen-âge suit les événements de la Haute Ossola et a eu une importance considérable pour sa position à la confluence de trois vallées. Notes artistiques: Sur le chemin du Goglio, dans la localité "Al Passo", il y a une barrière de la vallée de Sforza (la dernière décennie du siècle). XV) avec tour à cheval de la route. L'église paroissiale de Baceno, dédiée à S. Gaudenzio est une construction romane - gothique: commencée au XIIe siècle. il a été agrandi à trois nefs au XIVe siècle et finalement porté à cinq dans la première moitié des 500, quand il a également été flanqué d'un clocher (1523). Construite en blocs carrés de pierre, l'église a une façade à pignons ornée d'un portail médian (1505), décorée d'arches suspendues et d'une rosace et conserve des spécimens remarquables d'art du XVIe siècle: Frescoes of A. Le zanetti (1549), vitrail peint, une rencontre en bois sculptée de l'école suisse. La paroisse de Croveo a une porte en bois sculptée en sec. XVII.

  • San Domenico

    San Domenico est un hameau de la municipalité de Varzo à 1 420 m d'altitude, dans l'extrême nord du Piémont. Plus précisément, San Domenico appartient à une vallée des Alpes lévactines qui tissent avec une succession de crêtes, de bois et d'étangs à la frontière avec la Suisse. En quelques mots: c'est l'un des derniers recours de l'arc alpin où vous pourrez découvrir la montagne dans toute sa beauté naturelle. Qu'il s'agisse d'hiver ou d'été, San Domenico di Varzo est un lieu préservé à découvrir en ski, avec des raquettes à neige, à vélo ou à travers des bois, des crêtes et des étangs. Un petit village dans le nord du Piémont où la nature est le protagoniste tout au long de l'année. Que votre passion soit le ski alpin ou le surf des neiges, San Domenico Ski est vraiment l'endroit idéal pour vous. La région de Val Divedro offre le parfait mélange de pentes de différentes difficultés, de grandes pentes dans les espaces ouverts et de descentes d'adrénaline à travers les arbres. Le domaine skiable est réparti sur une différence de hauteur de plus de 1 100 mètres, de 1 420 mètres de San Domenico jusqu'à 2,500 mètres du Dosso, traversant l'assolata conca dell'Alpe Ciamporino. Malheureusement, l'ouverture des remontées mécaniques de San Domenico est garantie de début décembre au début du mois de mai, grâce à une neige naturelle de la plus haute qualité, parmi les meilleures de tout l'arc alpin.35 kilomètres de pistes desservies par sept remontées mécaniques modernes avec 19 pentes de toutes les difficultés: Les pentes faciles et larges de l'Alpe Ciamporino attendent les débutants pour se rapprocher des sports d'hiver et les tapis roulants du terrain scolaire permettent à chacun de profiter des premières dérapages sur les skis ou sur la table en paix. Les pistes les plus exigeantes et techniques du col de Sella et de Dosso sont dédiés aux skieurs les plus exigeants. Les pistes telles que "La Sella", "Diei", "Valletta" et les variantes "Bondolero 1, 2 et 3" offrent des parois techniques avec des pentes allant jusqu'à 55 %, des changements de direction rapides, des compressions et des décompressions capables de tester même le skieur le plus avancé. Les émotions de nuit peuvent être vécues le long des 3 km de piste éclairées par jour, la seule piste descendante de nuit dans toute la zone skiable du Val d’Ossola avec Domobianca Ski. Le surf des neiges à San Domenico a une longue tradition établie: les pentes enneigées, en particulier celles blanchies doucement et intactes à l'extérieur des sentiers battus, sont une destination pour une grande flotte d'enthousiastes depuis des décennies. Le Sando Snowpark est également disponible, constamment mis à jour avec de nouveaux équipements. La location de matériel, l'école de ski, les hôtels de niveau, les résidences, les cabanes de montagne et les parkings à haute altitude, les événements, les soirées gastronomiques et l'après-ski complètent l'offre de haute qualité de ski San Domenico. Retournez ici sur le site pour être informé de l'ouverture des stations de ski.

  • Domobianca

    Domobianca est une station de ski située entre 1088 m et 1845 m d'altitude, représentant le parc d'un groupe de pâturages de montagne situé au-dessus de la ville de Domodossola. La route n'atteint que les pâturages de montagne les plus bas, l'Alpe Lusentino, de là plusieurs télésièges et remontées mécaniques mènent au Pianali, le point culminant de la station de ski, situé au pied du sommet de Moncucco. Il y a 13 voies, d'une longueur totale de 21 km. Le ski à Domobianca est né dans les années 70, quand nous avons commencé à penser à l'établissement de la station de ski de Domodossola. La zone identifiée pour la création de la station était celle correspondant au versant nord-est de Moncucco (1896 m.s.l.). Les usines étaient censées partir de l'Alpe Lusentino, où la route de transport s'est terminée et aurait dû atteindre le Pianali, un plateau placé immédiatement sous le sommet de Moncucco. C'est ainsi que les travaux de création des remontées mécaniques ont commencé, dont la construction a été commandée à la société Leitner di Vipiteno. En 1978, la nouvelle station de ski a été inaugurée, qui comprenait à l'époque les sièges pour les remontées mécaniques de Motti, Prel et Pianali. En 1980, toujours par la société Leitner a également été construite une sciovia Baby all'Alpe Foppiano, un endroit où le télésiège Motti est arrivé et d'où le télésiège Prel a commencé, qui a ensuite conduit à la sortie de Pianali, qui a atteint la localité homonyme au pied du sommet de Moncucco. Dans les années 1980 et 1990, la station a enregistré un bon afflux de skieurs, mais a souffert de la concurrence d'autres stations de ski d'ossola et d'hivers avec peu de neige. Au troisième millénaire, la station balnéaire d'hiver de Domobianca-Alpe Lusentino visait à faire un bond décisif dans la qualité, grâce à l'introduction de la neige planifiée, indispensable pour maintenir les pistes moins ouvertes tout l'hiver, et de nouvelles installations. En 2004, en fait, un leasteur de ski-haut a été repositionné au Pianali, dans le but de permettre aux skieurs d'assister davantage à la meilleure zone enneigée de la région. Le véritable saut de qualité, Domobianca, le fait cependant en 2006, en profitant du financement que la région du Piémont accorde grâce aux Jeux olympiques de Turin 2006, voit quelques innovations bienvenues qui sont entrées en vigueur. La neige prévue est agrandie sur presque toutes les pistes et deux nouveaux télésièges à deux places sont construits. Les deux usines, toutes deux fabriquées par les entreprises CT et Sacif, revêtent une importance considérable pour la station. Le télésiège Torcelli, prend la place de la salle de ski de Pianali, démonté à la suite de la construction de cette usine, tandis que le télésiège de Casalavera permet une expansion de la zone, d'un côté jusqu'à ce moment-là peu fréquenté. En 2007, le système de ski de nuit sur les pistes de Prel et Prati est également entré en service. Ces innovations ont conduit Domobianca à être l'une des meilleures et des plus populaires stations de la région de Neveazzurra, qui comprend toutes les stations de ski du VCO. Domobianca offre des kilomètres de pentes parfaitement préparées pour tous les niveaux, de la large piste « bébé », paradis des débutants, au fameux « muro torcelli », un véritable défi avec une pente extrême. Tous desservis par 4 télésièges, 2 remontées mécaniques et 3 tapis roulants. Domobianca est également l'une des deux stations d'ossola, avec San Domenico Ski, pour offrir l'occasion de vivre des soirées spéciales grâce à l'expérience de ski de nuit, avec 3 km de piste éclairée par jour: une descente de nuit parmi les plus longues d'Europe. Retour à la visite du site pour être informé des ouvertures des pistes de ski.

  • Notre vallée magique... Le Val Formazza

    En plein nord du Piémont, coinsé entre les cantons suisses du Valais à l'ouest et le Tessin à l'est, Val Formazza est un petit joyau alpin de la province de Verbano-Cusio-Ossola, au nord du lac Majeur. La vallée, continuation naturelle de la vallée d'Antiggorio, qui commence au nord de Domodossola, est large et verdoyante, avec un profil glaciaire typique, entièrement couvert par la rivière Toce, qui dans la partie terminale forme les fameuses chutes d'eau de la Toce, un saut de 143 mètres. Le long du fond de la vallée et de ses pentes latérales, en particulier à l'ouest, il y a de grands espaces où dans les randonneurs d'été et les alpins peuvent trouver une myriade de possibilités différentes, également facilitées par les nombreux refuges et accueillants: des simples promenades entre les différents hameaux de la municipalité de Formazza, à des randonneurs plus difficiles à des altitudes entre les grandes montagnes et les praies alpines. Et en hiver, quand un manteau blanc couvre tout - ici la neige est toujours abondante -, en plus des longs anneaux de ski de fond et de la petite zone pour le ski alpin, vous pouvez marcher avec les raquettes à neige au pied le long d'itinéraires de toutes les durées et de toutes les difficultés, mais c'est peut-être le ski-alpin qui donne le Val Formazza les émotions les plus intenses, avec des chemins vraiment adaptés à tous, pour ceux qui s'approchent. L'une des particularités de Val Formazza est certainement la culture Walser, qui imprègne encore la vie de ses habitants et la gestion du territoire, ainsi que la toponymie et l'architecture. On suppose que dans l'Antiquité, la région était habitée par les Leponzi, une population apparemment d'origine proto-celtique, tamisée par les Romains, qui laissaient des traces évidentes de routes dans les vallées de l'Arbola et des Gries, utilisées pour des échanges commerciaux avec la Suisse. Par la suite, la région est passée sous le contrôle de l'évêque de Novare et du Valvassori De Rodis, puis du duché de Milan, enfin à la suite des événements de l'Ossola entier (à l'exception de quelques raids suisses), qui voient une alternance de dominations, plus ou moins sanglantes, par les Espagnols, les Autrichiens, le Piémont et le français, jusqu'à l'annexion définitive du Royaume d'Italie. Mais tout cela a influencé très peu la vie quotidienne dans les hautes montagnes, où la vallée de l'Antigorio, surmonte la barrière escarpée de la Casse, devient le Val Formazza, les territoires alpins alors presque inhabités et utilisés uniquement comme pâturages d'été. Ici, entre 1200 et 1300, pour des raisons encore débattues par les historiens viennent de groupes de colons des Goms, dans le Valais suisse supérieur, qui traversent le col de Gries, s’installent – avec l’approbation du De Rodis d’abord, puis du duché de Milan, qui obtiennent des avantages incontestables en termes d’hommage – dans la partie la plus haute de la vallée, donnant naissance à de petits villages consacrés à la culture et surtout à l’élevage. Pendant des siècles, le peuple Walser (du Walliser, habitant du Valais) n'a vécu presque pas dans ces endroits, sans entrer en contact avec les populations voisines à l'exception des besoins commerciaux, maintenant ainsi une autonomie culturelle qui a été perpétrée de génération en génération. Les Alpes et les bois étaient et sont toujours gouvernés par une ordonnance communautaire, et même la justice, dans certaines limites (l'arbitrage des crimes majeurs appartenait au seigneur), était gérée par la communauté elle-même avec son propre tribunal. La culture Walser est également clairement identifiable dans la construction et la langue. Les maisons Walser, dont beaucoup sont encore visibles à Val Formazza, sont reconnaissables par la base en pierre, au-dessus de laquelle repose le corps principal entièrement dans le bois, un matériau qui n'était presque pas utilisé pour les maisons dans les Alpes. Mais c'est peut-être la langue qui est la caractéristique la plus distinctive de ce peuple ancien et fier: le dialecte Walser, un mélange d'anciens germes et de dialectes subalpins, peut être trouvé dans de nombreux noms de lieux dans la municipalité de Formazza (qui dans la langue du mur devient Pomatt), bien que malheureusement maintenant seules quelques personnes âgées savent encore comment le parler. Ici, les panneaux à l'entrée des différents hameaux montrent encore le double nom: Foppiano/Unrumschtald, Fondovalle/Schtafuwald, Chiesa/In d?r Mattu, San Michele/Tuffald, Valdo/Wald, Ponte/zuum Scht?g, Brendo/In d?ndudu, Grovella/Gurf?lu. Une culture, celle du Walser, qui affecte d'autres territoires des Alpes, de la Valsésie à certaines régions du canton du Tessin, et qui voit heureusement un regain d'intérêt grâce auquel nous essayons de maintenir en vie les traditions et la langue de ce peuple des Alpes. Basodino, Punta d'Arbola, Punta del Sabbione, Blinnenhorn: ce ne sont que quelques-unes des Trois mille qui entourent le Val Formazza, aux pieds desquels les chemins sont riches en histoire, comme le long des cols des Gries ou de San Giacomo, et des chemins parmi la glace éternelle - même en retraite constante -, les pâturages où les précieux Bettel.. Une expérience à vivre à un rythme lent, laissant les yeux se remplir de vert des prairies, de la glace blanche et de la neige, et du bleu du ciel et des lacs.

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